Établir sa bucket list 2026 : l’art sacré de décider qui l’on devient

Il y a des années où l’on survit, des années où l’on se transforme, et des années où l’on décide enfin d’ouvrir la porte qui grince depuis trop longtemps.

Les bucket lists — qu’on appelle pudiquement “listes de vœux”, “objectifs”, “intentions”, peu importe — ne sont pas des listes à cocher. Ce sont des actes magiques, des pactes silencieux que l’on passe avec la vie.

On croit que ce sont des mots posés sur un papier. Mais ce sont des directions, des engagements, des fragments de futur qui demandent juste qu’on leur fasse un peu de place.

Je suis convaincue d’une chose : sans direction intérieure, on tourne en rond.

La question centrale devrait être « Quel est l’objectif ? ».

J’ai le réflexe de me la poser à chaque occasion. Le matin avant d’organiser ma journée, avant un rendez-vous client, lorsque je fais mes courses, si je veux acheter un habit etc.

Sans objectif clairement défini, la vie, les autres, décident pour nous. Sans liste d’objectifs, on devient spectateur de sa propre journée, année, vie. Et il n’y a rien de plus triste que l’impression de s’être laissée entraîner par un courant qu’on n’a même pas choisi.

2026 approche. Et si, cette fois, vous écriviez vraiment VOTRE Bucket list ?

Entrons.

Pourquoi écrire sa bucket list change tout (et pas seulement sur le papier)

On a tendance à croire que la vie avance toute seule, qu’elle suit ses chemins, qu’elle finit par nous amener quelque part. C’est faux. Elle nous amène quelque part seulement si nous savons où.

L’objectif n’est pas un caprice moderne. C’est une nécessité énergétique. Sans objectif, on navigue à vue, guidé par l’urgence des autres, les injonctions du quotidien, les habitudes qui anesthésient. Avec un objectif — même flou, même fragile — quelque chose se met en mouvement.

Une bucket list, ce n’est pas une liste de tâches, mais une réponse à la question :« Qui ai-je envie d’être cette année ? »

Qu’est-ce que je veux ressentir ? Qu’est-ce que je veux vivre ? Qu’est-ce que je veux accomplir — pour moi, pour ma maison, pour mon corps, pour mon âme ? Dans quelle énergie est-ce que je souhaite arriver au 31 décembre 2026 ? Et peut-être la question la plus puissante : Comment est-ce que je veux être en lien avec les autres ?

Une bucket list est un miroir magique, puissant, magnétique. C’est la base de la loi de l’intention, de l’attraction, de la manifestation.

Ce que ma bucket list 2025 m’a appris (et ce que j’ai osé écrire noir sur blanc)

À chaque début d’année, je me pose et j’écris. Parfois à la lueur d’une bougie, parfois dans le brouhaha d’un café, parfois dans le calme profond d’un matin sans obligations. Et ce que j’ai écrit… se rélalise. (ou presque !) Par magie intentionnelle.

Voici un extrait de ce que contenait ma liste 2025 :

Faire un beau voyage avec les kids.

Nous avons parcouru le Maroc pendant trois semaines, Arthur 15 ans, Margot 11 ans, et moi. Un voyage initiatique, vibrant, rempli de chaleur, d’amour, de rencontres, de rires, de contrastes, de paysages qui rendent humble. Nous sommes revenus différents : plus soudés, plus vivants, plus nous-mêmes.

Progresser en anglais

C’est fait, lentement mais sûrement. Et j’ai découvert que je pouvais y aller pas à pas. Comme c’était écrit, un pacte avec moi-même, j’ai mis en place des petites actions quotidiennes, qui changent tout sur un an. Regarder une série en V.O. sous-titrée, lire le times en anglais, oser acheter un livre en anglais et le lire à mon rythme, le soir ou au bord de la piscine, m’astreindre à lire régulièrement à voix haute, etc.

Toutes ces petites actions, mise bout à bout, ont ancré l’anglais dans ma vie et dans ma psyché. Je ne suis pas devenue « fluent » en un an, mais oui, j’ai progressé.

Vendre, donner, recycler tout ce qui encombrait la maison

Fait. Je respire mieux. Ma maison respire mieux. Les objets ont cessé de me retenir dans des versions révolues de moi-même. Cela m’a demandé beaucoup de temps. Trier, décider, remuer le passé, mettre des annonces sur le bon coin et Vinted, proposer à mes amis et voisins : c’est de l’énergie que je n’aurais sans doute pas attribuer à cette tâche si je ne l’avais pas décidé en début d’année.

Aujourd’hui mes habits tiennent dans deux tiroirs de commode (bon, sans les manteaux et les chaussures, tout de même), ça me donne un sentiment de liberté incroyable. J’ai récupéré de l’argent (en vendant, mais aussi en achetant moins), de la clarté, et j’ai gagné beaucoup de clarté le matin, au moment de m’habiller.

Vendre la boutique, me recentrer sur Jolis Baumes et offrir un service client irréprochable

Fait. Et cette clarté intérieure-là… a changé mon quotidien. Je me sens plus alignée ainsi. Je suis emplie de gratitude pour l’expérience de la boutique, les rencontres et les échanges, mais épanouie d’être revenue à mon premier amour, ma marque de bien être émotionnel Jolis Baumes.

Refaire les packagings des savons

En cours — mais le processus est lancé, l’agence parfaite trouvée, l’intention posée d’un packaging plus pepsy, qui correspond mieux à ce que je suis aujourd’hui.

Vaincre ma peur de l’avion

Fait. Je suis montée dans un avion, j’ai osé demander l’aide d’une amie pour ça (je lui ai broyé la main au décollage…), j’ai surmonté ma peur. Bien obligée, je l’avais noté !

Acheter un appartement pour préparer l’avenir

Fait. Les travaux sont en cours, c’est dense, énergivore, mais tellement juste. Jamais je ne me serais lancée si je ne l’avais pas écrit.

Muscler mon ventre et mon périnée

Fait. Mon corps tient mieux, avance mieux, me porte mieux. Le voir écrit sur ma bucket list m’a permis d’avancer chaque jour en conscience : nager, pratiquer le Pilates à la maison, couper les légumes sur la pointe des pieds en gainant. Comme l’anglais, j’ai avancé en conscience tout au long de l’année.

Faire du riz au lait maison

Pas encore.Il me manque quelqu’un pour surveiller la casserole pendant que je fais mine de maîtriser la situation. Qui vient m’aider ?

Et puis… quelques souhaits plus secrets. Parce que chaque liste mérite ses mystères.

L’art sensoriel de se mettre en mouvement

Avant d’écrire votre liste 2026, je vous invite à un geste simple : ouvrir un espace.

Allumez une Bougie Concentration. Sa flamme est droite, vive, volontaire. Elle contient de l’huile essentielle de basilic exotique — une plante qui, en sorcellerie, est utilisée pour manifester, focaliser, et ancrer l’intention dans la matière. On ne plaisante pas avec le basilic, il a les épaules solides. J'ai pensé cette bougie pour le focus, l’intention, la clarté. Je l’utilise systématiquement quand j’écris mes objectifs (pour la compta aussi, mais ça c’est une autre histoire…).Elle stabilise l’esprit, écarte le bruit, recentre l’énergie.

Puis asseyez-vous. Posez vos mains sur la table. Respirez. Laisser venir la première question :« Qu’est-ce que je veux vivre ? »

Pas ce que vous pensez DEVOIR vivre. Pas ce qu’on attend de vous. Ce que vous voulez ressentir. La joie. La fluidité. La sécurité intérieure. L’amour. La réussite. La légèreté. La puissance. La douceur. La liberté.

Tout commence là.

Rituel initiatique : écrire, infuser, ancrer

Prenez un carnet, une feuille, ou votre application Notes — la mienne est pleine de vœux et de promesses secrètes.

Écrivez votre liste d’une seule traite. Ne vous censurez pas. Ne rationalisez pas. Ne vous demandez pas si c’est raisonnable. Demandez-vous si c’est vrai.

Laissez la liste reposer quelques jours. Revenez-y. Réécrivez-la. Ajustez-la.

Puis, quand elle est mûre : glissez-la sous votre Bougie Concentration, allumez-la,et dites intérieurement : « Ceci est mon année. Ma vie, mes choix, mes rêves. Je concentre mon énergie et j’accomplis. »

Votre énergie, votre regard, votre aura changeront, et votre vie suivra.

Fiche vivante : mes alliés énergétiques pour écrire une bucket list

L'œil de taureau) — l’ancrage du “j’ose”

L’œil de taureau porte courage, détermination, force matérielle.

C’est la pierre qui vous pousse à agir, pas à bavarder. Une énergie de “je m’y mets”.Exactement ce dont on a besoin pour une bucket list engagée. Portez le en bracelet, pour l'avoir sous les yeux à chaque mouvement de vos mains.

Trèfle porte-bonheur — la chance tactile

Un trèfle à quatre feuilles coulé dans la résine, que l’on met en porte-clef. Il vous rappelle  chaque jour « Tu as décidé. Tu avances. Tu es soutenu.e. La chance est avec toi. » C’est plus qu’un symbole : c’est un ancrage, un rappel magnétique de notre liste de souhait, qui change notre rayonnement.

Témoignage personnel : ce que la bucket list m’a vraiment appris

Écrire ma bucket list m’a forcée à être honnête. À nommer ce que je voulais vraiment. À cesser d’attendre que la vie ou les autres devinent mes besoins.

Quand j’ai écrit « vaincre ma peur de l’avion », j’ai senti mon cœur se contracter. Quand j’ai écrit « acheter un appartement », j’ai entendu un vertige dire « impossible, trop risqué ». Quand j’ai écrit « voyager seule avec les enfants », j’ai senti une immense liberté, une joie profonde.

Et pourtant, tout s’est réalisé. Non pas parce que je suis chanceuse. Mais parce que, dès que l’on nomme quelque chose, on change de position intérieure. On devient acteur, initiateur, créateur de sa vie.

La bucket list n’est pas une liste, c’est une vraie bascule.

Parce que vos retours sont magiques.

« J’ai suivi ton rituel l’an dernier. J’ai écrit ma liste, posé ma bougie dessus, relu mes mots chaque mois. J’ai réalisé 11 objectifs sur 14. Et surtout : je ne me suis jamais sentie aussi alignée. Merci. » — Sandrine, 47 ans.

Conclusion initiatique

La bucket list n’est pas un gadget de début janvier. C’est une conversation intime avec la personne que vous êtes en train de devenir. Écrivez-la, relisez-la chaque semaine, portez-la. Et regardez la vie s’aligner pour vous laisser passer.

À l’année que vous choisirez vraiment.

Agnès, créatrice de Jolis Baumes